Conduit au tribunal de première instance de première classe de Cotonou hier, mardi 21 novembre 2017, Laurent Mètongnon n’a pas été présenté au Procureur de la République pour être entendu dans ce qu’il convient d’appeler désormais « affaire Cnss ». Placé en garde à vue depuis vendredi dernier, l’ancien Président du Conseil d’administration du Cnss, accusé dans ce dossier de "placement risqué et de rétro commission occulte", devra encore être détenu durant 48 heures au moins avant d’être présenté au Procureur de la République. Désapprouvant les machinations en cours, les avocats du détenu décident de se faire entendre ce jour, mercredi 22 novembre 2017. Ils seront face à la presse ce matin à la Bourse du travail. Soulignons qu’hier au tribunal, les centrales syndicales, les travailleurs du ministère des finances ainsi que les jeunes se sont tous mobilisés au tribunal pour exiger la libération sans délai du détenu, Laurent Metongnon.Il est, cependant, toujours gardé à l’Office central de répression  du trafic illicite des drogues et des précurseurs (Ocertid). Le Secrétaire général de la Fédération  des syndicats des travailleurs de l’administration des finances (Fesyntra-Finances), Laurent Mètongnon, serait auteur de placements hasardeux à la Banque internationale du Bénin  alors en difficulté.  Il aurait cautionné l’opération quand il présidait le Conseil d’administration de la Caisse nationale de sécurité sociale  (Cnss) contre quelques avantages illégaux.  Le Conseil des ministres avait décelé des rétro-commissions estimées à 71 millions F Cfa. Mais un ancien Directeur général de la Bibe a affirmé selon plusieurs sources avoir remis à Laurent Metongnon par personne interposée 2,5 millions F Cfa et une bouteille de champagne.  Des affirmations contradictoires qui fragiliseront à coup sûr l’accusation selon certains observateurs.

Aziz BADAROU

La réception des travaux de construction du nouveau bâtiment a lieu ce jour. L’installation des meubles au sein des bureaux du nouveau local a été la dernière activité faite dans le nouveau bâtiment. Le groupe "GENAU-IFP SA" de Flavio CHISSOTTI est l’entreprise chargée de l’équipement des nouveaux bureaux en meubles. Lundi 20 novembre 2017, cette dernière avec l’appui de  sa commission technique dont l’architecte de renom Luc Ragot de LR consulting, ont apporté les dernières touches à l’installation.

Ils ont passé au peigne fin toutes les pièces qui composent ce joyau. La commission technique conduite par l’architecte Luc Ragot de LR consulting a revu chaque meuble, son installation et sa position dans la pièce. Les rideaux, les tapis mis au sol ont été tous touchés afin de permettre à la pièce d’être captivante. L’effet est immédiat, les meubles installés sortent de l’ordinaire. Ils sont « made in Italie » mais très attirants. Pour l’architecte Luc Ragot de LR consulting, ces meubles répondent aux critères exigés dans le cahier de charge et surtout au choix du président Adrien Houngbédji qui est un homme de goût. Ces travaux effectués jusque dans la soirée  ont sonné la fin de la construction. Les clés seront remises ce jour à l’autorité parlementaire qui programmera l’inauguration. La promesse faite par le président Adrien Houngbédji de réceptionner le joyau avant la clôture de la session budgétaire se réalise donc. C'est désormais chose faite, puisque les meubles des bureaux ont été réceptionnés le vendredi 10 novembre 2017 et 10 jours après ils sont installés. Au total, quatre conteneurs ont transporté ces meubles vers l’Assemblée nationale. Il est à noter que le marché a été gagné par le groupe "GENAU-IFP S.A (International Furniture Project) dont le directeur général a pour nom, Flavio CHISSOTTI.  Pour  CHISSOTTI Flavio, tout a été mis en œuvre afin que le délai de livraison soit respecté."Nous avons l'habitude de travailler avec minutie afin de ne rien laisser au hasard. On aurait pu livrer les meubles depuis, mais c'est la douane qui a un peu retardé les choses ", a affirmé le directeur général du groupe "GENAU-IFP ".

Kola Paqui

Les avocats chargés de la défense de Laurent Mètongnon, détenu en garde à vue dans l’affaire dite placement de fonds de la Cnss dans une banque (Bibe) en difficultés et de retro commission sur lesdits placements, étaient face à presse hier mercredi 22 novembre 2017. Aboubacar Baparapé, Amos Akondé et Alfred Bocovo ont fait aux professionnels des médias, le point de la situation de leur client. C’était à la Bourse du travail de Cotonou.

Le dossier est vide et la détention de Laurent Mètongnon se justifie logiquement plus. Il offre de garantie suffisante de représentation,  c’est en ces termes que les avocats de Laurent Mètongnon ont évoqué le dossier de la Cnss hier à la Bourse du travail. Ils ne comprennent donc pas les raisons qui motivent sa détention prolongée en  garde à vue à l’Ocertid. En effet, selon les explications de l’orateur principal, Me Aboubakar Baparapé, il ressort de l’audition de Laurent Mètongnon et  de sa confrontation avec le Dg/Cnss, contrairement à ce que le conseil des ministres  a fait croire, qu’en 2015,  La Bibe n’était  plus en difficulté. Elle était donc en droit de recevoir au même titre que les autres banques des Dépôts à terme.  Ce qui à l’en croire a d’ailleurs été confirmé par les arrêtés ministériels notifiés à la directeurgénérale de la Cnss et à tous les administrateurs, mettant fin àl’administration provisoire, à la fonction de l’administrateur provisoire et désignant un directeur général par intérim. En ce qui concerne la retrocommission, le directeur général aurait envoyé une somme de 2millions cinq cent mille plus une bouteille de champagne, d’un coup de 130000fCfa à Laurent Mètongon, par personne interposée. Ce que l’accusé n’a pas reconnu avoir reçu. Par ailleurs, le supposé intermédiaire par qui aurait transité la commission, a affirmé selon les propos de l’avocat, n’avoir jamais rien reçu du directeur. La question  est donc vidée…  Le débat est clos sur les accusations et la condamnation portées contre Laurent Mètongnon,  clame  la défense.

Violation du droit à la défense

Selon la relation des faits par le collège d’avocats, il a été procédé  à la perquisition du domiciledu mis en cause à Cocotomey, devant deux de ses avocats. Des documents ont été saisis, en l’occurrence les conventions de vente de ses biens acquis. Un point contradictoire a été fait devant ses avocats. Et à en croire Me Baparapé, conformément à la loi,et après l’étape de l’enquête préliminaire et de la perquisition, Laurent Mètongnon devrait être libéré. Mais le procureur de la République a fait usage des prérogatives que lui confère la loi, pour le maintenir jusqu’au délai de 8 jours prévus par la loi. Des mesures restrictives attentatoires au droit de la défense ont été posées par les policiers chargés de la garde de Mètongnon  et interdisant toute visite, même celle de ses avocats.Il a fallu élever une protestation à l’endroit du procureur qui a finalement autorisé l’accusé à  recevoir ses visites. Ainsi tout en dénonçant la violation des droits de la défense, les avocats exigent la libération de leur client.

Thomas AZANMASSO

Déclaration du Parti Communiste du Bénin (PCB)
A propos de la détention politique du camarade METONGNON Laurent.

Travailleurs, Peuples du Bénin. Comme vous le voyez ! Tout est désormais clair pour tout le monde. Laurent Métongnon est un détenu politique. Les montages grossiers dans lesquels on tente de l’impliquer sont tombés comme château de carte. De 71 millions de CFA de rétro-commissions mis à la charge du camarade, on est rapidement, selon l’accusateur fabriqué lui-même, tombé à « 2.500.000 en plusieurs tranches » et ce par personne interposée et sans décharge. Le fameux intermédiaire interrogé a rejeté avec indignation ces accusations et même menace de traduire les auteurs en dénonciation calomnieuse. Dans un véritable Etat de droit, la procédure s’arrête et on relâche l’intéressé avec les excuses publiques nécessaires à laver son honneur. Mais ici non seulement on continue de le garder, mais encore on semble vouloir enclencher une autre procédure par la perquisition à son domicile. Travailleurs et peuples du Bénin, le Parti Communiste du Bénin dès le début de cette affaire n’a cessé de dire qu’il s’agit d’une provocation politique aux fins de mettre coûte que coûte le camarade Laurent METONGNON en prison ; ainsi l’empêcher de parler et intimider tout le peuple en lutte. Le maintien de Métongnon Laurent en prison n’a pas d’autre signification. C’est pourquoi je note avec satisfaction la vague des mouvements protestataires qui déferlent sur l’ensemble du pays du nord au sud, de l’est à l’ouest (Cotonou, Abomey- Aplahoué en passant par Akodéha-Comé etc.). Les affiches, graffitis expriment la juste colère du peuple « Libérez Laurent Mètongnon » tel est le mot d’ordre de combat du moment. Je salue les braves jeunes, femmes qui veillent et se mobilisent tous les jours pour rejeter l’inacceptable. Je salue les avocats démocrates qui se battent de toutes leurs forces pour que cesse l’arbitraire. Tout le monde comprend qu’à travers METONGNON le pouvoir autocratique de TALON veut faire taire le peuple pour mieux piller. Pas cela au pays de Béhanzin, Bio Guérra, Kaba ! Tous les dictateurs et autocrates aux petits pieds qui vont s’y frotter, s’y feront piquer ! Travailleurs, peuples du Bénin ! Multipliez toutes les actions pour la libération du camarade Laurent Mètongnon. En avant pour la réunion des Etats Généraux du Peuple en vue d’une autre gouvernance, patriotique et de probité.

Cotonou, le 22 Novembre 2017

Le Premier Secrétaire du Parti Communiste du Bénin.
Philippe NOUDJENOUME

(Le procès s’ouvre le 19 décembre prochain)

L’ancien président du Conseil d’administration de la Caisse nationale de sécurité sociale (Cnss) est placé sous mandat de dépôt. Laurent Mètongnon et YoussaoAboudou  Saliou sont déposés à la prison civile de Cotonou dans l’affaire «placements hasardeux à la Bibe». Plusieurs d’autres inculpés seront poursuivis sans mandat. Le procès s’ouvre le 19 décembre 2017.

Laurent Mètongnon ne recouvrera pas de sitôt sa liberté dans le dossier « placements hasardeux à la Bibe». Après 8 jours de garde à vue, le Procureur de la République près le Tribunal de première instance (Tpi) de Cotonou a trouvé opportun de le poursuivre. Selon l’un de ses avocats, Me Ibrahim Salami « Il y a des personnes qui sont poursuivies sans mandat, d’autres le sont avec mandat dont Laurent Mètongnon et YoussaoAboudou  Saliou». L’avocat remettra en cause la procédure engagée contre  son client. « Honnêtement, le dossier est vide parce que la preuve n’a pas été rapportée que les montants ont été remis. Normalement en l’absence de preuve, on ne devrait pas aller plus loin, encore moins les mettre sous mandat de dépôt », a-t-il déploré. Me Ibrahim Salami parlera aussi de menaces sur l’Etat de droit : « A la rigueur on aurait pu décider d’un non-lieu ou les poursuivre tous sans mandat. Mais le fait aujourd’hui de les poursuivre avec mandat et les déposer dans les conditions aussi rocambolesques, c’est vraiment regrettable pour l’Etat de droit». Ce jeudi, le Procureur de la République a aussi décidé de faire comparaître toutes les personnes inculpées le 19 décembre prochain. Il faut rappeler qu’on reproche à Laurent Mètongnon d’avoir cautionné des placements hasardeux de plusieurs milliards F Cfa de la Cnss à la Banque internationale du Bénin (Bibe) qui serait en difficulté. Laurent Mètongnon qui était président du Ca de la Cnss à l’époque aurait bénéficié des rétro-commissions occultes.      

Laurent Mètongnon soutenu…C’est un tribunal plein à craquer qui a accueilli Laurent Mètongnon hier jeudi. Il y avait une foule mobilisée pour soutenir celui que les organisations syndicales qualifient de « détenu politique». Dans la cour du Tpi de Cotonou, on comptait en effet par milliers les soutiens du Secrétaire général de la Fesyntra-Finances entre temps en garde à vue à l’Ocertid. Très remontés contre le gouvernement, ils scandaient des slogans et exhibaient des banderoles contre Patrice Talon et ses proches  collaborateurs. A les entendre, Laurent Mètongnon est une victime du régime de la Rupture. Pour eux, c’est un défenseur du peuple qu’on tente de bâillonner. La décision du Procureur de la République n’a pas émoussé les ardeurs des soutiens de Laurent Mètongnon. Ils promettent de rester vigilants et mobilisés.

M.M

L’homme d’affaires Sébastien Ajavon devra être au Tribunal de première instance (Tpi) de Cotonou ce vendredi 24 novembre 2017. A en croire nos sources, le Patron des patrons béninois comparaîtra dans l’affaire portant sur 13 milliards de francs Cfa au titre de remboursement de Tva. Il est accusé de « faux en écriture publique, complicité de faux en écriture publique, usage de faux et escroquerie ». Il aurait violé un mémorandum d’entente signé entre les gouvernements du Bénin et du Nigéria qui interdit l’entrée sur le territoire nigérian de certains produits provenant du Bénin. Sous l’ancien régime, Sébastien Ajavon aurait ainsi bénéficié d’aménagements douaniers et fiscaux pour la réexportation de certains produits, à travers sa société Comon Sa.

M.M

Le Bureau de  l’Union des professionnels des médias du Bénin (Upmb) avec à sa Franck Kpochémè a décidé de relever le défi de la spécialisation des professionnels des médias. Hier, jeudi 23 novembre 2017 s’est ouvert à Parakou un séminaire dans ce sens. Il regroupe une cinquantaine de professionnels des médias.

Travailler à la mise en place d’un ambitieux programme portant à terme la spécialisation de tous les journalistes exerçant sur le territoire national. C’est dans cet objectif que l’Union des professionnels des médias du Bénin (Upmb) tient à Parakou un atelier de validation du projet de spécialisation des professionnels des médias.

Dans son mot de bienvenue, le président de l’Upmb Franck Kpochémè a souligné que le métier de journaliste est un métier très ouvert et qui va s’ouvrir davantage les années à venir. On risque à terme d’avoir dix millions de béninois, dix millions de journalistes. Dans un tel contexte où tout le monde peut venir dans la profession, il n’y a, à son avis, que la spécialisation pour continuer d’exister en tant que journaliste. Au nom du Cnpa, Rodrigue Azinongbé, après avoir apprécié l’initiative, a souligné qu’il n’y a que la spécialisation pour aller au-delà de l’information factuelle que toute personne est en mesure de livrer sur les réseaux sociaux. Cela permettra aux médias de franchir un pas supplémentaire, proposer des alternatives de compréhension un peu plus pointues aux auditeurs et lecteurs. Poursuivant sur le même chemin, le Directeur général des médias par intérim Lévy Ayéyèmi constate qu’il y a un manque criard de ressources humaines de qualité dans les rédactions. Ce qui fait que dans les grands débats, on manque d’interlocuteurs valables capables de relever les inexactitudes des propos de certains grands intellectuels. Plusieurs communications ont meublé la journée dont, « Spécialisation de la presse au Bénin : Cas de Educ’Action ». Elle a été présentée par Romuald Logbo, journaliste, Directeur de la rédaction de Educ’Action. L’atelier prend fin ce jour mais se tiendra encore à Bohicon jeudi et vendredi prochains.

B.H

Le vendredi 24 novembre dernier s’est tenu une conférence de presse dans les locaux de la cimenterie ‘’Ciment Bouclier’’ sis au quartier Xwlacodji à Cotonou. Cette conférence annonçait le report du concert géant des 50 années d’anniversaire de la Scb ‘’Ciment Bouclier’’ prévu pour se tenir le 25 novembre dernier au stade Mathieu kérékou. Abordant les raisons du report de ce concert à une date ultérieure, les conférenciers  ont évoqué  le calendrier chargé de la star congolaise Fally Ipupa, mais néanmoins était présent sur le sol béninois le groupe Toofan. Stéphanie Anta, directrice commerciale de la dite société a insisté que le concert aura  bel et bien lieu les jours à venir.
     
M.M

2007 – 2017. Cela fait 10 ans que la société Jéhovah Nissi Petrolum (JNP) SA est installée au Bénin avec l’implantation de son siège social dans la commune. Dix années que cette société rend de nombreux services aux béninois à travers l’importation et la distribution des produits pétroliers et dérivés.

Trois principales activités ont été retenues pour la célébration du 10ème anniversaire de la société Jéhovah Nissi Petrolum SA. Il s’agit de l’inauguration du centre emplisseur de gaz à Badékparou, d’un dîner de gala avec les partenaires, les clients de la société et certaines autorités politico administratives et l’inauguration de la station-service prestige de Cotonou en face du commissariat central.

Le centre emplisseur de gaz de Badékparou est installé sur une superficie d’un hectare. Ce centre qui a une capacité pour remplir plus de dix mille bouteilles, dispose des tanks de stockage d’une capacité de 40 tonnes métrique ; de 06 bascules d’emplissage des bouteilles de 06 Kg et de 12,5 Kg ; une bascule de contrôle de poids ; des mesures de sécurité comme des pompes DCI pour les refroidissements en eau ; des boules d’extinction de feu et les extincteurs et des détecteurs de feu et de gaz.

L’objectif visé par la société Jéhovah Nissi Petrolum SA en décidant de la création du centre emplisseur de gaz de Badékparou, le seul dans le septentrion, est d’assurer la disponibilité permanente du gaz afin d’éviter les ruptures de stock et aussi de desservir les pays de l’hinterland, ce qui va contribuer à la protection de l’environnement, en substituant le bois énergie par le gaz domestique et assurer une création d’emplois pour la jeunesse.  

Arnauld Akakpo, président directeur général du Groupe Akad International a dans son mot de bienvenue témoigné sa gratitude et celle de sa structure à l’endroit de la clientèle, des partenaires et des différentes autorités politico administratives qui n’ont ménagé aucun effort pour leur permettre de faire le parcours qui fait de sa société, le leader dans l’importation et la distribution des produits pétroliers et dérivés au Bénin seulement dix ans après sa création. Pour lui, en dix ans, la mission est accomplie mais la lutte continue. C’est pourquoi, le nouveau challenge est la couverture de l’Afrique d’ici 2030, l’anticipation sur le service qualité et surtout le maintien de la qualité des prestations. Et pour relever ce challenge, le Pdg de Groupe Akad international compte sur ses différents partenaires d’affaires du Maroc et des Emirats Arabes Unis.

Le maire de la municipalité de Parakou, Charles Toko, tout en souhaitant la bienvenue aux partenaires du groupe Akad international sur la terre hospitalière de Parakou, s’est réjoui du chemin parcouru par la société Jéhovah Nissi Petrolum SA en dix ans d’existence. Il n’a pas manqué de remercier le Pdg de Jéhovah Nissi Petrolum SA pour sa contribution dans le processus de développement de la commune à travers l’implantation de ses activités à Parakou et ses nombreuses œuvres sociales à l’endroit des populations de Parakou. Le soutien de la municipalité de Parakou ne fera pas défaut à la société Jéhovah Nissi Petrolum SA a rassuré le maire Charles Toko.

Procédant au lancement des activités du centre emplisseur de gaz de Badékparou de la société Jéhovah Nissi Petrolum SA, le préfet Djibril Mama Cissé du Borgou a laissé entendre que le centre emplisseur de gaz de Badékparou qui est mise en service va réduire la distance et assurer un approvisionnement permanent du produit. Il s’est réjoui de l’implantation de ce centre sur son territoire de compétence qui va contribuer à la protection de l’environnement. Il a pour finir, invité les populations à adopter les produits de la société Jéhovah Nissi Petrolum SA.

Albérique HOUNDJO
(BrBorgou-Alibori)

Les membres de la Jeune chambre internationale (Jci) Abomey-Calavi Emeraude ont fêté, samedi 25 novembre 2017, les 5 ans d’existence de leur organisation. Un jubilée de bois, marqué par la passation de charges entre le président sortant Freddy Soglo et la nouvelle élue Christelle Koundé. C’était au Lucide Palace de Godomey.

Entourés de clubs amis, parents et autres amis personnels, les membres de la Jci Abomey-Calavi Emeraude ont célébré avec faste, le 5e anniversaire de la création de leur club. C’est au détour d’une soirée de gala que les manifestations se sont déroulées, marquées par plusieurs événements. En effet, élue à la tête du club en septembre dernier, la nouvelle présidente 2018, Christelle Koundé a reçu les attributs lui permettant d’entrer dans la plénitude de ses fonctions. Tout ceci dans une ambiance festive et commémorative des 5ans d’actions sociales et caritatives au profit de la population d’Abomey-Calavi. Pour le président du Comité d’organisation, la soirée revêt une importance capitale, mais également un caractère particulier en raison des événements qui s’y sont déroulés. Il a donc exprimé toute sa reconnaissance à toutes les personnes qui ont œuvré à sa tenue effective. Le président sortant, Freddy Soglo a pour sa part, salué le travail de qualité abattu par ses prédécesseurs, lui balisant le chemin. Il ne doute pas non plus des qualités de la nouvelle élue pour relever les défis du club. Freddy Soglo, a, pour finir, adressé ses remerciements à tous ceux qui l’ont accompagné dans cette œuvre. « C’est un honneur, mais également une grâce pour moi », a déclaré ChristelleKoundé, recevant ses nouveaux attributs. Elle ne perd cependant pas de vue les nombreux défis qui sont les siens. Ainsi, plaçant son mandat sous le thème « Osons agir pour un réel impact », elle a pris l’engagement d’œuvrer au rayonnement du club, par des actions concrètes pour le mieux être de la population. Elle n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude à tous les partenaires et amis du club. Le président national de la Jci Firmin Houngabdji, tout en félicitant les membres pour les œuvres accomplies, les a exhortés à plus d’actions. Il en est de même pour le parrain de la cérémonie José Amoussou, qui exhorte les membres de la Jci Abomey-Calavi Emeraude, au service dans la passion.

Une collecte de fonds a mis un terme à la soirée très riche en prestations artistique et culturelle.

Thomas AZANMASSO

La ministre de l’économie numérique et de la communication, Aurelie Adam Soulé Zoumarou a tenu une séance de travail avec les professionnels des médias béninois, hier mardi 28 novembre 2017. La rencontre d’échanges s’est tenue à la Maison des médias de Cotonou.

La séance de travail entre dans le cadre de la visite de prise de contact de la toute nouvelle ministre Aurelie Adam Soulé Zoumarou avec les structures relevant de sa tutelle. Elle était l’occasion pour la ministre, d’échanger avec les professionnels des médias du Bénin, sur les maux qui minent la corporation. Dans son mot de bienvenu, le président l’Union des professionnels des médias du Bénin (Upmb), Franck Kpochémè, a adressé ses vives félicitations à la ministre pour sa nomination. Le président de l’Upmb a saisi l’occasion pour exprimer quelques doléances à son hôte, notamment le piratage des fréquences de la Radio Soleil Fm, la prise de décret d’application et la vulgarisation du code de l’information, la prise de décret portant avantages liés à la détention de la carte de presse… Il a exhorté la ministre à pendre ses responsabilités et à s’investir  dans la satisfaction de ces doléances. Le président du Conseil national du patronat de la presse et de l’audiovisuel (Cnpa), Basile Tchibozo a, pour sa part,  salué la détermination de la ministre qui dès sa prise de  service, a posé des actes porteurs d’avenir. Il sollicite l’appui de la ministre, pour sortir la presse béninoise de  l’ornière en vue de favoriser  sa visibilité. Se félicitant de l’accueil chaleureux à elle réservée, la ministre de l’économie numérique et de la communication Aurelie Adam Soulé Zoumarou, a reconnu  le professionnalisme des hommes des médias du Bénin, ainsi que la responsabilité des associations faitières. Toutes choses concourant à l’en croire, à l’édification de la nation et de l’état de droit. Elle a pour finir ses propos, pris l’engagement au nom du gouvernement, d’apporter son soutien pour la résolution des nombreux problèmes qui minent le secteur. La rencontre a pris fin par une séquence d’échanges entre la ministre et les professionnels des médias. 

Thomas AZANMASSO

De vils individus continuent d’alimenter le réseau criminel des trafiquants d’espèces protégées. Hier, jeudi 30 septembre 2017, deux présumés trafiquants de défenses d’éléphants ont été arrêtés à Djougou dans le département de la Donga. Ils étaient en possession de deux pointes d'ivoires. Ils étaient sur le point de conclure une transaction illicite quand les éléments du Commissariat central de Djougou et ceux de l'inspection Forestière ont fait irruption sur les lieux. Ces présumés trafiquants ont été pris en fragrant délit de commercialisation de défenses d’éléphants, une espèce intégralement protégée par la loi n°2002-16 du 18 octobre 2004 portant régime de la faune en République du Bénin. Cette arrestation faite grâce à l’appui technique du Programme appui à l'application des lois sur la faune et la flore au Bénin (Aalf-Benin), vient une fois encore confirmer le danger qui plane sur la survie des éléphants dans les parcs Pendjari et W. Ces présumés trafiquants vont certainement répondre de leurs actes devant la justice. Ils risquent de payer une amende de 300 000 à 800 000 F Cfa et/ou d’un emprisonnement de 6 mois à 5 ans selon l’article 154 de la loi portant régime de la faune. Le même article punit toute personne qui importe, exporte, réexporte ou commercialise des animaux sauvages ou leurs trophées et dépouilles en dehors des cas permis.

Les présumés trafiquants, faut-il souligner, sont aux mains des forces de sécurité publique en attendant la suite de la procédure. Le ministère du Cadre de vie et du Développement durable et ses structures sous tutelle doivent faire la veille nécessaire sur ce dossier  afin que ces individus soient punis conformément à la loi.

A.S  

Le Professeur Théodore Holo a été magnifié, le jeudi 30 novembre 2017 à l'Université d'Abomey-Calavi. Ses admirateurs et ses disciples lui ont rendu un hommage mérité à travers des mélanges.  

«La démocratie en questions». C'est le titre de l'ouvrage qui rend hommage au Professeur Théodore Holo. Faits de 587 pages, ces mélanges portent sur un sujet auquel l'actuel président de la Cour constitutionnelle a consacré de nombreux travaux scientifiques. A en croire le président du comité scientifique de rédaction, le Professeur Koffi Ahadzi-Nonou, des sujets divers et variés y sont abordés. Il a cité entre autres le serment du chef de l'Etat, le contrôle de constitutionnalité, la laïcité, les révisions constitutionnelles, le juge constitutionnel. Le document est réalisé par des chercheurs de plusieurs nationalités. Ce qui montre, selon le Professeur Ahadzi-Nonou, le rayonnement intellectuel du dédicataire. L'initiative est portée en réalité par le Bénin et le Togo: l'Université d'Abomey-Calavi et l'Université de Lomé. Le jeudi dernier,en justifiant le bien-fondé de ces hommages, le Professeur Frédéric  Joël Aïvo a souligné que le Professeur Holo reste un juriste dont les œuvres forcent l'admiration et traversent le temps. Pour le Doyen de la Faculté de droit et de Sciences politiques de l'Uac,  le Professeur Holo qui s'est durant toute sa carrière engagé pour la Démocratie, a laissé transparaître cet engagement dans certaines «décisions osées» de la Cour constitutionnelle qu'il dirige depuis 2013. L'actuel Titulaire de la Chaire Unesco des droits de la personne humaine et de la démocratie, le Professeur Noël Gbaguidi parlera, lui, d'«hommages à un grand Maître». « Sa contribution au progrès du droit constitutionnel au Bénin et ailleurs est connue», a-t-il déclaré. Il a par ailleurs indiqué vouer son admiration et son respect au premier Titulaire de la Chaire UNESCO qui est un « fanatique de la ponctualité». Le président de l'Université de Lomé,le Professeur Dodji Kokoroko, considère pour sa part, le professeur Holo comme un « juriste de haute qualité» qui a «une riche et longue carrière». Pour lui, il est incontestablement « un bâtisseur de la démocratie». Satisfait de l'honneur qui lui est fait, le dédicataire a exprimé sa joie. A en croire ses mots, il n'y a aucun doute qu'il existe une relève de qualité. Le Professeur Holo a invité ses disciples ainsi que la jeune génération de chercheurs à non seulement imiter le maître, mais aussi à le dépasser. « La science ne peut évoluer que par la prise en compte de nouvelles réalités», a martelé le Professeur Holo qui totalise un peu plus de 40 ans de carrière.                                 

Allégresse SASSE

Dans le cadre du séjour du spécialiste et producteur de vin, Pierre Paillot au Bénin, l'Ambassade de France a organisé, lundi 4 décembre 2017, une séance de dégustation de vin à l’intention des étudiants du Centre d’études touristiques de l’Agence africaine du tourisme. C’était au Restaurant d'application, Les jardins d'Edelweiss.

L’objectif est de fourniraux étudiants du Centre d’études touristiques, les clés pour la  dégustation et la présentation du vin, mais également les armes nécessaires pour apprécier le bon vin, en vue de devenir de bons prescripteurs et de bons acheteurs.

La dégustation, un art

Pour le présentateur, Pierre Paillot, la dégustation du vin est un art qui revêtplusieurs aspects. L’aspect visuel consiste à mirer le vin avec son « œil »à la lumière du jour, en plaçant le verre au-dessus de la surface blanche. Cela permettra d’en apprécier la couleur, la nuance, l’intensité, la brillance et la limpidité. Peuvent également s’observer, lafluidité, pour le vin sec ou la viscosité pour un vin liquoreux. Concernantles jambes, les pleurs, les larmes ou les perles, elles traduisent la richesse en alcool. L’aspect olfactif est lié à l’inhalation aumoyen du « nez », délicatement par petites inspirations successives. Cette opération doit être répétée plusieurs fois après avoir fait tourner le vin dans le verre. Cela permet d’apprécier les fruits, les odeurs, les arômes. L’aspect gustatif consiste quant à lui, à mettre le vin en bouche et « grumer » délicatement en aspirant un peu d’air  à travers les lèvres, puis cracher après quelques secondes. A en croire ses explications, l’élément important d’appréciation du vin est la fin de bouche, qui doit être non agressive, agréable, et aromatique. C’est à ce moment que sont décelés l’amertume, la sécheresse, mais aussi le brulant de l’alcool. Lalongueur en bouche procure une sensation plaisante de présence du vin en bouche. Cependant fait-il remarquer, le picotement lié au gaz carbonique ne doit pas être systématiquement interprété comme un défaut. C’est un élément de fraicheur dans les vins blancs secs, fait-il savoir. Pierre Paillot  aen outre présenté les techniques de débouchonnage de vin, mais également les différentes régions viticoles de sa région natale. La production du vin est fonction de l’insolation et de la pédologie, a-t-il fait savoir. C’est ainsi que les meilleurs vins blancs sont produits sur des sols clairs et acides,tandis que les sols argileux profonds et froids produisent du vin rouge. Les régions ensoleillées produisent du bon vin rouge, mais les régions à faible ensoleillement fournissent du vin blanc.

Thomas AZANMASSO

Les travailleurs du ministère de l’économie et des finances n’approuvent pas la détention du secrétaire général de la Fesyntra-finances, Laurent Mètongnon dans le cadre de l’affaire Cnss-Bibe. Réunis au sein du Syntracef, ils décident de déclencher un mouvement de débrayage de 24 heures à compter de ce jeudi 07 décembre 2017.Cette décision a été prise lors d’une assemblée générale extraordinaire que leur syndicat, le Syntracef, a organisée ce lundi 04 décembre 2017. Le Syntracef exige le rapprochement de l’audience de Laurent Mètongnon, ancien président du Cconseil d’administration de la caisse nationale de sécurité sociale. Ce dernier croupit en prison depuis le 23 novembre dernier pour avoir autorisé des placements de fonds à la banque BIBEibe entre 2014 et 2015 alors que cette institution financière était en difficulté. On lui reproche également  d’avoir pris des retrorétro-commissions sur ces placements de fonds.Afin que le peuple béninois puisse avoir une compréhension profonde du dossier Cnss dans lequel est impliqué  leur camarade Mètongnon, le Syntracef invite le ministre de la justice Joseph Djogbénou à monter au créneau pour éclairer la lanterne de l’opinion. Et des mouvements de protestation se poursuivent pour exiger la libération du syndicaliste. Affaire à suivre !!!

A.B

Raliou Arinloyé a recouvré sa liberté. L’ancien Maire de Sakété jouit à en croire plusieurs sources de sa liberté depuis quelques heures. Il a quitté la prison civile d’Akpro-Missérété et regagné son domicile. Nos sources soulignent que l’ancien président du Conseil communal de Sakété n’a plus rien à craindre. Libre de ses mouvements, il pourrait se relancer sur la scène politique afin de regagner la confiance de ses militants. RaliouArinloyé avait été arrêté le 29 août 2017 par les éléments du Commissariat central de Pobè. On lui reprochait d’être mêlé à une affaire d’escroquerie domaniale.  Le président du Mouvement africain pour le développement et le progrès (Madep), SéfouFagbohoun serait cité dans la même affaire.

M.M

Il n’y aura plus de cadeaux pour les auteurs des crimes environnementaux au Bénin. Le gouvernement de la Rupture est au jour le jour aux trousses des individus décidés à en découdre avec le patrimoine faunique béninois. Ils sont six présumés trafiquants à être appréhendés le mercredi 6 décembre 2017 à Ouidah (département de l’Atlantique) en possession de deux (2) pointes d'ivoires d'éléphants. Sur ordre des autorités béninoises, les éléments du Commissariat central de Ouidah et les forestiers ont mis aux arrêts ces présumés trafiquants avec la collaboration technique du programme Appui à l'application des lois sur la faune et la flore au Bénin (Aalf-Bénin). Le marché qu’ils ont préalablement conclu pour livrer ces deux pointes d’ivoires, l’équivalent d’un éléphant abattu, n’est pas allé à son terme grâce à la vigilance des forces de sécurité publique. Ces présumés trafiquants risquent de subir la rigueur de la loi. En effet, il est interdit d’importer, d’exporter, de réexporter ou de commercialiser des animaux sauvages ou leurs trophées et dépouilles en dehors des cas permis, selon l’article 154 de la loi n°2002-16 du 18 octobre 2004 portant régime de la faune en République du Bénin. Et puisque ces présumés trafiquants sont pris en fragrant délit, ils seront, dès que leur culpabilité sera prouvée, punis conformément aux dispositions de l’article 154 qui prévoit pour ces genres d’infraction, une amende de 300 000 à 800 000 F Cfa et/ou d’un emprisonnement de 6 mois à 5 ans. L’éléphant étant une espèce intégralement protégée et que la Rupture opte pour une "tolérance zéro" contre les crimes environnementaux, la sanction sera sans doute à la hauteur de l’acte commis.

Mike MAHOUNA

Cotonou abrite ce vendredi 8 décembre la Cérémonie Annuelle de Récompenses des Meilleurs Modèles de Ponctualité! Cette activité initiée depuis l'année 2014 par l'Ong Be the Best permet de mettre la lumière sur les personnes/personnalités qui font de la bonne gestion du temps et de la ponctualité leur priorité. Comme il fallait s’y attendre les responsables de cette Ong ont mis les bouchées doubles pour que la cérémonie se déroule sans couacs. Au total 18 nominés sont retenus pour prendre part à la grande cérémonie. De sources bien informées, tous les nominés recevront des lots. Les lauréats recevront des trophées et attestation.

Nominés 2017 Best Model of Punctuality

Après la présélection et la première phase d'enquête, les 18 nominés retenus pour la dernière ligne droite de l'Edition 2017 du Programme BMP sont :

Administration Publiques et Institutions de la République

DAHOME Édouard
AHOYO Jean-Paul
ADIDJATOU Mathys

Société d'État

AMOUSSOU Huguette
SAIZONOU Mohamed
TOSSOU Laurent

Société Privée

TIKRY Corenthina
SATCHIVI Jean-Baptiste
METINHOUE Cossi E.

Éducation

AIVO Frédéric Joël.
BODJRENOU René.
AGOSSOU Noukpo.

Société Civile

VIOSSI Rock.
TOTIN Henri
HOUNGBADJI Firmin

Agents, etc.

DEGUE Jean-Pierre
AHOUANDJINOU Martin
AKLE Jémima.

Mtn-Bénin a fait des heureux le vendredi 08 décembre 2017. Plusieurs abonnés ont reçu à Cotonou leurs cadeaux après le premier tirage réalisé dans le cadre du jeu tombola Mtn Mobile Money lancé depuis le 15 novembre 2017.

Le leader de la téléphonie mobile au Bénin donne la joie à ses abonnés en cette fin d’année. Il a en effet offert 8 semaines riches en cadeaux depuis le 15 novembre dernier. Et c’est déjà l’euphorie chez les abonnés. La semaine écoulée,  12 personnes ont pu recevoir des motos et 150 autres ont pu toucher des bons d’achat de 20000 F Cfa. Selon le Directeur général de Mtn Mobile Money, Virgile Toffodji, c’est pour rendre la vie radieuse aux abonnés  que le jeu a été organisé. Pendant  deux mois, a-t-il dit, Mtn Mobile Money a décidé de célébrer la fidélité de ses clients. Pour participer au jeu Tombola, clarifiera le Dg Virgile Toffodji, il faut faire des transactions sur Mtn Mobile Money en réalisant notamment des achats de crédits, des paiements, le réabonnement canal +, le transfert Mtn vers Mtn et Mtn vers d’autres réseaux et le transfert régional. Il a rappelé qu’il y a au total 48 motos et 600 bons d’achat de 20000 F Cfa à gagner. « Plus vous multipliez vos transactions sur Mtn Mobile Money, plus vous cumulez des points et augmentez vos chances d’être tiré au sort », a-t-il précisé. Le Dg Mtn Mobile Money exprimera par ailleurs ses reconnaissances aux abonnés qui ont fait confiance à ce service de Mtn-Bénin depuis bientôt 7 ans. « Vous êtes plus d’un million à faire confiance à ce produit. Vous nous avez fait confiance malgré l’intoxication. Nous continuons d’innover », a-t-il fait savoir. Ce vendredi, les abonnés ont manifesté leurs satisfactions suite au premier tirage supervisé par Me Tokpanou. « J’ai une très bonne impression du service Mtn Mobile Money. Je suis content et je demande aux autres abonnés de ne pas hésiter à participer au jeu tombola », a confié l'un des gagnants. Le prochain tirage sera réalisé dans quelques jours.

L’Ong Be The Best sacrifie une fois de plus à la tradition de récompense des meilleurs modèles de ponctualité. La 4ème édition des Awards Be The Best s’est tenue, vendredi 08 décembre 2017 à Blue Zone sous le parrainage du ministre de l’énergie Jean-Claude Houssou. Des 18 nominés en compétition, 06 ont été sacrés meilleurs modèles de ponctualité 2017.

Adidjatou Mathys, ministre de la Fonction publique, Huguette Amoussou, Dg par intérim du Pac, Jean-Baptiste Satchivi, président de la Ccib, Joël Aïvo, doyen de la Fadesp, Firmin Houngbadji, président 2017 de la Jci Bénin et Jemima Aklé épouse Kérékou en service à la Detfp sont les lauréats des Awards de ponctualité 2017 qu’organise chaque année l’Ong Be The Best. Sur un total de 18 nominés, le jury présidé par Hermann Mèton est parvenu à dégager ces 06 modèles après un vote en ligne qui compte pour 25% et l’évaluation pour 75%.
S’exprimant sur le processus qui a abouti au choix des 06 meilleurs modèles de ponctualité sur les 18 nominés, Hermann Mèton, le président du jury a souligné que c’est la synthèse des résultats combinés des votes en ligne et l’évaluation du jury après l’étude des dossiers des nominés et les enquêtes réalisées. Les critères d’enquêtes sont : bonne gestion du temps, ponctualité au bureau, réunions et activités diverses, source d’inspiration pour ses collègues et collaborateurs, valeur positive, en adéquation avec au moins deux des quatre valeurs de l’Ong Be The Best. Pour le président du jury, tous les nominés étaient méritants puisque les moyennes obtenues varient de 88,2 à 87, 4.

Prenant la parole, Ninon Ahoudjinou, président du Conseil d’administration de l’Ong Be The Best a expliqué que l’initiative des Awards de meilleurs modèles de ponctualité tient son essence de  la maxime du président John Kennedy : « Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour votre pays ». En décidant de récompenser ceux qui s’efforcent pour être toujours à l’heure que cela soit au bureau ou aux activités auxquelles ils sont invités, l’Ong Be The Best veut faire prendre conscience que tout développement repose sur une bonne gestion du temps. Ceci est d’autant plus indispensable quand on sait que selon les dernières statistiques de l’Insae, sur les 8h règlementaires de temps de travail, les béninois font à peine 3h. Le parrain de la cérémonie le ministre Jean-Claude Houssou qui, à l’occasion de cette cérémonie, a été fait membre d’honneur de l’Ong Be The Best, a souligné qu’en décidant de remplir cette mission avec volonté et abnégation, l’Ong Be The Best est en parfaite cohésion avec le Chef de l’Etat qui, chaque jour, demande aux membres du gouvernement de cultiver l’excellence. Il affirme que c’est l’année dernière qu’il a découvert cette Ong formée de jeunes dynamiques qui ont décidé de contribuer au développement du Bénin en célébrant la ponctualité dans un pays où on dit que le retard est un sport national.

B.H